Contrairement à une génération de cinéastes qui a grandi dans les salles obscures, scotchée au grand écran et qui donc s’inspire pour son propre cinéma d’une transposition du réel plutôt que d’une observation directe, Abel et Gordon viennent des arts vivants. Des salles. Et de la rue. C’est la vie, la vraie vie qui les inspire qui les émeut, qui les touche et qui les pousse à innover.
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