Produit par Arte pour une diffusion télé en France et en Allemagne, La route d’Istanbul pourrait sortir en salles ailleurs. Chez nous, donc.
Ancré dans l’actualité la plus tragique, ce drame suit une mère de famille qui voit sa fille disparaître. On retrouve sa trace en Turquie, prête à passer en Syrie pour aller porter secours au peuple martyrisé.
La maman est incrédule: elle n’a pas vu venir la radicalisation de sa fille, désormais voilée et rebaptisée. Avec une amie, elle décide de partir à la lisière de l’Orient pour la ramener en Belgique.
Après le triomphe de L’Emprise (8,6 millions de téléspectateurs sur TF1, soit 33 % de part de marché), Scope Pictures récidive avec une nouvelle coproduction haut de gamme réalisée par… Rachid Bouchareb.
Devant sa caméra, Astrid Whettnall et la Montoise Pauline Burlet.
Dix-neuf des trente-six jours de tournage se sont déroulés en Belgique avec une équipe technique en grande partie belge.
Quand on vous aura dit que cette histoire est adaptée d’un fait divers réel qui s’est déroulé en Wallonie, vous comprendrez l’envie du réalisateur d’ancrer complètement son histoire chez nous.