w-l-c Le cinéma vu par les belges
Un seul inédit pour ce numéro de Tout Court diffusé le 13 novembre sur la Trois, mais aussi un thriller étonnant qui joue avec les nerfs des spectateurs et nous bluffe gentiment, Kerosene et Einstein était un réfugié, un drame émouvant dans lequel on découvre une Tania Garbarski très touchante.
KEROSENE de Joachim Weissman – 26’21
Une production d’Artemis
Clara, 25 ans, jeune et jolie femme, suit une psychothérapie pour vaincre sa phobie : l’avion.
Afin de surmonter sa peur, elle se fait engager comme technicienne de surface pour avions en escale.
Alors qu’elle travaille en classe business, elle tombe sur un roman appartenant à l’un des passagers. Elle décide d’y laisser, par jeu, un message. Et contre toute attente, elle reçoit une réponse. La machine est lancée !
Avec Amandine Nova, Jacky Druaux, Philippe Résimont, Éric De Staercke, Michèle Cocheteux
Prix et récompenses :
Prix Fédération Wallonie-Bruxelles Média 10-10 2011
FIFF Namur 2011 : Prix meilleur court métrage de fiction et Prix du Public
Prix Coup de Coeur BeTV Festival Le court en dit long, Paris 2011
KIN – animation Ateliers Zorobabel – 11’
Kin est une photographie sociale de Kinshasa, qui fait se rencontrer une série de personnages sur le thème de la débrouille et du recyclage.
Version originale : Français & Lingala
EINSTEIN ÉTAIT UN RÉFUGIÉ de Solange Cicurel – 18’45’’
Une production Entre Chien et Loup 2010
Pourquoi accorder une seconde chance à une personne qui vous a délibérément menti ? Einstein était un réfugié est l’histoire d’une intuition; celle d’une avocate à qui sa cliente a menti et qui, malgré cela, va l’aider. Einstein était un réfugié est l’histoire de deux femmes qui ont eu la chance de se rencontrer.
Avec Babetida Sadjo, Tania Garbarski, Raphaëlle Bruneau, Dieudonné Kabongo Bashila, Cloé Xhauflaire
SUMO de Laurène Braibant – animation – Inédit -5’37
Deux corps, des géants presque nus, s’avancent lentement vers un cercle d’argile. Cette expérience graphique met en scène l’expressivité de leurs corps au service d’un rituel sumo. Les deux lutteurs s’affrontent de façon fulgurante à travers chacun de leurs gestes qui sont l’expression directe de leur être le plus nu.
