La Tendresse : Marion Hänsel aux urgences !

Lundi 30 avril 2011, toute l’équipe de La Tendresse se retrouve à l’Hôpital Saint-Luc pour une scène censée se dérouler dans les Alpes.  Lisa et Frans viennent chercher leur fils qui s’est blessé en skiant. Ils ont parcouru mille kilomètres côte à côte, partageant pour la première fois depuis leur séparation un long moment d’intimité.

 

Ce jour-là sur Bruxelles, le soleil brille, mais Marilyne Canto ne peut pas quitter son gros pull et sa doudoune. Olivier Gourmet est aussi habillé… comme en plein hiver ce qui est assez logique quand on se projette dans le scénario.

Tout le monde est très concentré, mais ce qui frappe d’emblée, c’est la sérénité qui règne sur le plateau. La scène de ce matin est très découpée, chirurgicalement, filmée dans l’ordre quitte à déplacer la caméra dans un angle puis dans un autre. Chacun sait précisément ce qu’il a à faire. Et s’exécute le sourire aux lèvres. Pas un juron, pas de trace d’énervement, pas un mot plus de travers, pas même un regard agacé : il fait bon vivre sur un tournage de Marion Hänsel et chacun nous confirmera que c’est ainsi chaque jour. Et sur tous ses longs métrages.

Quelques mois ont passé et Cinevox vous présente un Grand  Écran consacré à ce road movie doux et… tendre. Une bouffée de fraîcheur.

 

 

Marilyne Canto se repose avant la première prise à l’hôpital Saint-Luc. Il faut dire que l’équipe est en tournage depuis 3h du mat’.

 

L’équipe image se met en place. Olivier Gourmet se dit qu’il prendrait bien un dernier café…

 

Au four et au moulin ,disponible et sympathique, Marion Hänsel explique à l’équipe de Cinevox comment va se dérouler la scène, prise par prise.

 

L’hôpital Saint-Luc est censé représenter une clinique de Haute-Savoie. Surtout ne pas oublier de dépendre les portraits d’Albert II.

 

L’équipe image prépare le travelling. La Tendresse est filmée en 35mm.

 

Et pendant ce temps-là, les figurants attendent… Avec le sourire.

 

 

 

 

L’équipe technique de La Tendresse et celle de de Cinevox au coude à coude : silence, on tourne !

 

Marilyne et Olivier, ou plutôt Lisa et Frans apprennent que leur fils a quitté l’hôpital. En un regard, le couple fonctionne. Lui, grand et calme, elle petite et énergique. Ils se complètent à merveille.

 

Derrière le combo, attention maximale : pas question de laisser passer la moindre erreur, le moindre faux raccord.

 

Une porte qui grince, une machine à boisson qui se met en action, des talons qui claquent sur le carrelage, les parasites sont nombreux. Autant de piège pour  Henry Morelle l’ingénieur du son habituel de Marion.

 

Vincent Van Gelder époussette sa caméra entre chaque prise.

 

Clap départ… de la dernière scène de la journée. L’équipe est fatiguée, mais détendue. Et visiblement heureuse d’être là.  A ce moment, il reste trois jours de tournage en Belgique plus deux en équipe réduite en Champagne.

 

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